Publié aujourd’hui à 22h29
Fondée par deux anciens étudiants de l’EPFZ, Climeworks s’est donné pour mission de contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique en fabriquant des capteurs de CO2.
Gaëtan Bally/Keystone
Il y a quinze ans à peine, suite à divers mouvements de fusions, six géants (Shell, BP, ExxonMobil, Chevron, Total et ConocoPhillips) se partagent le monde. Né de la fusion d’Exxon et Mobil en 1999, le pétrolier américain prend même la tête de cet empire des combustibles fossiles, dès le 1er décembre 2006. En termes de capitalisation boursière, de revenus, mais aussi sur le plan de la rentabilité, il représente la multinationale la plus puissante au monde.
Mais comme l’écrivait l’historien Jean-Baptiste Duroselle au début des années 1980, tout empire finit toujours par périr. Ce déclin, les géants de l’or noir le prennent de plein fouet en cette période de bouleversements climatiques majeurs. Leur règne est d’autant plus contesté qu’en face d’eux émergent de nouveaux géants dont la particularité est d’être étiquetés «verts», ainsi que de jeunes pousses au fort potentiel technologique à l’instar de Climeworks et ses capteurs de CO2.
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